Peu connus sous le terme d’élémentaux mais pourtant bien célèbres sous d’autres appellations, les élémentaux sont partout. Restant mystérieux pour certains, familiers pour d’autres, toujours est-il qu’ils sont apparus dans les contes que l’on nous a lu durant notre enfance. Ils se classent en fonction des éléments auxquels ils appartiennent c’est-à-dire l’eau, l’air , la terre et le feu.
Ce sont des êtres invisibles. En effet, ils font partie de la création mais résident dans des plans plus subtils que le plan matériel, terrestre, palpable par le sens du toucher. On leur attribue aussi des pouvoirs comme certains dons de guérison d’arbres, de plantes ou d’animaux voire d’humains, etc.
Il est dit qu’ils vivent à nos côtés mais pas dans la même dimension. En effet, en tant qu’humain nous nous situons dans la troisième dimension dite 3D, quant à eux ils feraient partie de dimension supérieure, nous parlons par exemple de 5ème dimension, une dimension proche de la notre certes, mais que l’on ne peut pas voir avec nos yeux physiques d’être humain. C’est la raison pour laquelle, il nous est extrêmement difficile d’entrer en communication avec eux par les mêmes moyens que ceux dont nous dispensons pour échanger entre humains. Ainsi, pour communiquer avec les élémentaux, il nous faut certaines dispositions intérieures, une capacité d’écoute, de réception, de perception du monde de l’invisible, rendus possibles par nos corps subtils et par des moyens surnaturels. Nous pouvons également utiliser certains outils tels que des baguettes coudées ou des biomètres pour rechercher les éléments ou faciliter nos échanges avec eux. Nous nous servons de ces outils alors comme une prolongation de nous-même. Certains outils de mesure augmentent nos perceptions subtiles d’après les matériaux dont ils sont constitués, d’autres permettent de faciliter nos échanges avec eux, obtenir des réponses plus claires (questions fermées oui/non) ou plus précises (avec un éventails de valeurs ou d’informations comme le permettent différents biomètres).
Il est également possible de communiquer avec les élémentaux via l’énergétique. Grâce à des stages comme ceux du clair-ressenti, ou d’autres moyens plus spécifiques comme à travers une personne qui pourrait servir d’intermédiaire entre vous et eux. C’est d’ailleurs ce que je propose durant mes stages énergétiques en Bretagne.
Depuis toujours, les êtres humains ont su établir un contact avec les élémentaux. Le clair-ressenti fait parti des outils qui permettent d’explorer le monde invisible, de communiquer avec les élémentaux. On peut aussi tester, mesurer les énergies et le taux vibratoire des élémentaux afin de savoir à quel élémental l’on s’adresse.
On peut répartir les élémentaux en quatre catégories, c’est-à-dire selon les quatre éléments, qui sont l’air, l’eau le feu et la terre. Afin de mieux les connaître voire peut être pour certains d’entre vous en d’en découvrir quelques uns, je vous propose une liste des principaux élémentaux, leur description, leur rôle, leur légende…
Les fées sont présentent dans des lieux naturels comme les forêts, mais ces lieux doivent être des lieux respectés par les humains par qu’elles y restent. Les lieux naturels doivent être préservés le plus possible de pollutions sonores ou environnementales pour permettent leurs présences et leurs subsidences dans la nature.
Elles sont dites anthropomorphes, c’est à dire qu’elles ont les caractéristiques du comportement ou de la morphologie humaine. Plus précisément, elles prennent des apparences spécifiques selon leur rôle.
Néanmoins, on peut aisément les imaginer avec des ailes qui s’apparentent à celles de certains insectes comme les libellules ou les papillons. Pour faire simple, on peut les décrire comme ayant un corps d’humain féminin effilé très beau avec de jolies ailes de papillons ou de libellules. Douées de facultés magiques, elles peuvent se déguiser et changer l’apparence de ce qui les entoure. Certaines très petites tiennent sur le doigt d’une main, cependant d’autres peuvent faire la taille d’un humain adulte. Elles vivent très longtemps et se nourrissent essentiellement de fruits de la forêt.
Il existe des fées solitaires que l’on trouve souvent autour des fleurs, d’ailleurs lorsqu’une fleur est très parfumée c’est fortement probable que cela soit du à l’intervention d’une fée. D’autres fées rassemblées en un groupe se placent quant à elles autour des arbres dont elles la mission d’en prendre soin.
Les fées d’après la légende pourraient conférer des dons aux nouveau-nés, voler dans les airs, lancer des sorts et/ou influencer le futur. L’idée que les humains se font des fées varie grandement en fonction des pays et de leur culture. Par exemple, les Anglo-saxons eux utilisent le nom « fairies » afin de désigner les fées, mais aussi toutes les petites créatures anthropomorphes du folklore païen telles que les nains , les lutins ou encore les elfes, alors que dans d’autres cultures les nains, les lutins ne sont pas du tout classés avec les fées.
Issues des croyances populaires et de mythologies provenant de la littérature inspirée du folklore et des contes celtiques ainsi que d’anciennes divinités, les fées sont une création de l »occident médiéval. Elles jouent des rôles très variés. Si certaines comme nous l’avons vu aident, soignent, guident des personnes ou leur fournissent des armes enchantées, il est raconté dans la mythologie que d’autres fées sont plus connues pour leurs « tours », leur habitude de danser en cercle et d’enlever des personnes, en particulier les nouveau-nés humains qu’elles remplacent par un changelin.
Contrairement aux fées, les elfes n’ont pas d’aile et veillent au mécanisme de la photosynthèse des plantes et à leurs solarisations. Ils sont très attachés aux enfants, et aux âmes qui s’émerveillent. Ce sont des élémentaux vraiment très petits car ils tiennent dans la paume d’une main. Les elfes comme les fées appartiennent aux créatures légendaires anthropomorphes cependant l’apparence, le rôle et la symbolique peuvent différer fortement de l’un à l’autre et même à l’intérieur de leur groupe. À l’origine, il s’agissait d’êtres de la mythologie nordique, dont le souvenir perdure encore de nos jours. Les elfes à la base étaient considérés comme des divinités mineures de la nature et de la fertilité. D’ailleurs, ils font également partis de la mythologie celte, en effet un grand nombre de récits irlandais et écossais les évoquent.
Dans de très nombreux ouvrages littéraires leur figure est reprise comme élément ayant rapport au merveilleux du conte de fées. L’apparence de l’elfe dans la perception des connaisseurs de la fantasy s’est modifiée du fait de son succès littéraire. Ils deviennent des êtres d’apparence jeune et de grande beauté, vivant le plus souvent dans des forêts, les bois reculés, et sont considérés comme immortels et dotés de pouvoirs magiques avec une particularité physique, c’est à dire au niveau des oreilles qui apparaissent comme pointues. D’ailleurs, leur corps détient aussi une particularité très marquée, c’est qu’il est toujours représenté comme étant svelte.
Les sylphes ne sont pas les élémentaux les plus connus, c’est pour cette raison qu’il est important de comprendre au préalable ce que signifie leur nom. Le terme vient du latin sylphus qui signifie « génie ». En effet, ce sont physiquement des sortes de fées avec des ailes de plus grandes envergures. Esprits élémentaires de l’air, ils se situent à mi-chemin entre les anges et les elfes. Leur rôle est de s’occuper du vent et de la pureté de l’air. Ils inspirent les artistes et les êtres spirituels. Ce sont également eux qui sculptent les nuages pour leur donner différentes formes. C’est un esprit de la nature très léger et qui bouge en un tour de main.
Ils habitent par conséquent le ciel et les nuages, le vent et les tempêtes. Il est possible de les invoquer afin de passer de meilleures nuits, lors de certaines négociations, et enfin pour l’amour.
Les sylphes ont pour compagnes et filles que l’on appelle les sylphides. D’apparence diaphane, ils sont grands, minces et dotés d’une merveilleuse beauté.
Bienveillants aux êtres humains et dociles, ils inspirent les artistes et les êtres versés dans la spiritualité. Pour passer le temps, ils sculptent les nuages pour leur donner des formes familières.
Les sylphes et surtout les sylphides prennent souvent forme humaine pour approcher les Hommes et se faire aimer d’eux. Mais les gracieuses sylphides ne supportent pas les grossièretés, ni les mauvaises manières, si bien que si l’être humain avec qui elles vivent devient grossier, elles le quittent tout de suite.
Les sirènes sont des créatures fantastiques marines. Elles sont souvent dépeintes des créatures mi-femmes mi-poissons. Elles vivent dans les eaux profondes dans des royaumes très organisés et mesurent environ 1m50 pour les femmes et jusqu’à 2m pour les rares sirènes masculines.
La couleur de leurs queues varie selon les mers dans laquelle elles vivent, une sirène de Méditerranée aura la queue plutôt bleue et verte, alors qu’une sirène de l’Atlantique aura la queue rouge, orange, voire violette.
Le terme naïades provient du grec Ναϊάδες qui signifie « couleur » ce sont des nymphes aquatiques qui vivent dans les eaux douces, plus particulièrement dans les rivières, les ruisseaux, les sources, les fontaines, etc. Elles font l’objet d’un culte particulier. Elles passent pour les filles de Zeus, des déesses fleuves ou de l’océan. Il existe plusieurs types de naïades comme les limnades qui sont les naïades des lacs.
Ces dernières étaient capables de lire dans les âmes des hommes et prenaient la forme d’être aimé pour les dévorer. Ces personnages, nymphes des eaux stagnantes, se nourrissant d’ambroisie, avaient le pouvoir de rester toujours belles et jeunes.
Les ondines dont le nom dérive du mot « onde », sont des génies des eaux dans la mythologie germanique également désignées sous le terme de « nixe » ou alsacienne.
Les ondins au masculin, sont plutôt très rares, ils sont d’ailleurs comme leurs compagnes et leurs sœurs: des génies aquatiques. On utilise aussi ce mot, surtout au pluriel, pour désigner les créatures qui sont représentées avec un torse humain et une queue de poisson, comme les sirènes et les tritons.
A l’origine l’ondine était une nymphe ou une naïade. Contrairement aux sirènes, les nymphes ne fréquentent pas la mer, mais plutôt des cours d’eaux comme les rivières, les fontaines, et ne possèdent pas de queue de poisson. Pendant la saison estivale, elles se plaisent à se tenir assises sur la margelle des fontaines, et peigner leurs longs cheveux avec des peignes d’or ou d’ivoire. Elles aiment également se baigner dans les cascades, les étangs, et les rivières, à la faveur des jours ensoleillés d’été. On dit que celles qui ont les cheveux couleur d’or possèdent de grands trésors qu’elles gardent dans leurs beaux palais immergés.
On attribue l’alimentation en eau des fontaines aux larmes des ondines, et celle-ci se tarit dès qu’une fée se sent offensée. Ainsi, il est de coutume de laisser diverses offrandes auprès des fontaines, tels que guirlandes de fleurs, épingles ou tessons de bouteilles, qui sont pour les fées des eaux, de véritables trésors scintillants et miroitants dans l’eau.
Ce sont des créatures légendaires présentent dans de nombreux pays européens. Elles ont l’apparence d’un dragon bipède ou d’un serpent ailé. Elles sont souvent censées porter une escarboucle sur le front.
Dans les contes populaires et en héraldique, la vouivre est un serpent fantastique préposé à la garde d’un trésor possédant un corps de serpent et des ailes de chauve-souris. Elle possède souvent une escarboucle.
La Vouivre, en franc-comtois, est l’équivalent du vieux mot français « guivre », qui signifie serpent et qui est resté dans le langage du blason. La vouivre franc-comtoise est néanmoins plus proche d’un serpent géant, possédant un rubis sur le front en guise d’œil.
Le dragon est une créature légendaire très connue, représentée comme une sorte de gigantesque reptile aux ailes déployées et aux pattes armées de griffes.
Dans de nombreuses mythologie à travers le monde, on retrouve des créatures reptiliennes possédant des caractéristiques plus ou moins similaires, désignées comme dragons
Dans la tradition occidentale, il s’agit d’une créature reptilienne ailée et soufflant le feu, que nombre de héros ou dieux devront combattre afin d’établir l’ordre sur le monde. Ce sont avant tout des créatures liées au feu, symbole de la puissance des forces naturelles.
Par son apparence reptilienne, le dragon est intimement lié à la terre. Cependant, il se détache du monde terrestre par sa capacité à voler, ce qui le distingue des rampants, à l’image des serpents.
La salamandre est un reptile légendaire, à ne pas confondre avec l’amphibien réel. Il était réputé pour vivre dans le feu et s’y baigner, et ne mourir que lorsque celui-ci s’éteignait. Mentionnée pour la première fois par Aristote, la salamandre devint une créature importante des bestiaires médiévaux ainsi qu’un symbole alchimique et héraldique et auquel une profonde symbolique est attachée. Ainsi, Paracelse en faisait l’esprit élémentaire du feu, sous l’apparence d’une belle jeune femme vivant dans les brasiers. D’autres légendes plus tardives en font un animal extrêmement venimeux, capable d’empoisonner l’eau des puits et les fruits des arbres par sa seule présence .
La licorne, est une créature légendaire probablement l’une des plus connue avec la sirène. Connue bien avant la renaissance en France mais rendue célèbre par la tapisserie La Dame à la licorne qui se compose de six exemplaires, elle est d’ailleurs exposée à l’hôtel de Cluny à Paris. La licorne fait est également souvent présente sur les objets ou vêtements des enfants, car ils l’affectionnent tout particulièrement, d’une part parce qu’elle prend l’apparence d’un cheval mais aussi parce qu’elle est représentée par une jolie la corne qui en fait une créature magique. Elle est symbole de pureté.
Son origine, controversée, résulte de multiples influences, en particulier de descriptions d’animaux tels que le rhinocéros et l’antilope, issues de récits d’explorateurs. Les premières représentations attestées d’animaux unicornes remontent à la civilisation de l’Indus.
La licorne devient l’animal imaginaire le plus important de l’Occident chrétien depuis le Moyen-Age jusqu’à la fin de la Renaissance. La croyance en son existence est omniprésente, grâce au commerce de sa « corne » et à sa présence dans certaines traductions de la Bible. Des objets présentés comme d’authentiques « cornes de licorne » s’échangent, et sont crédités du pouvoir de purifier les liquides des poisons et de guérir la plupart des maladies. Peu à peu, ces objets sont identifiés comme des dents de narval, un mammifère marin arctique. L’existence de la licorne reste toutefois discutée jusqu’au milieu du XIXe siècle. Son aspect symbolique, très riche, l’associe à la dualité de l’être humain, la recherche spirituel, l’expérience du divin, la femme vierge, l’amour et la protection.
Le lutin est une créature humanoïde nocturne de petite taille, issu au sens strict du folklore et des croyances populaires de certaines régions en Franc. En Bretagne, région dans laquelle je donne des stages énergétiques les korrigans sont assimilés à des lutins, tandis que dans les Alpes, le nom de servan est utilisé pour les nommer. Probablement inspiré des divinités du foyer et de « petits dieux » païens tels que les sylvains, les satyres et les Pénates, son nom dérive de l’influence linguistique du celte Nuada, lié à l’eau. L’influence des croyances envers les revenants peut expliquer une partie de ses caractéristiques. Dès le Moyen-age, il apparaît dans les récits et les chroniques déjà doté de particularités qui restent connues à notre époque. Les paysans se transmettent des siècles durant les rites visant à s’attirer ses bonnes grâces, ou au contraire à le chasser.
En plus de sa taille réduite, le lutin est réputé pour son espièglerie, d’invisibilité, son côté facétieux bienfaisant ou malfaisant, son obsession pour les femmes à l’origine du mot « lutiner », sa susceptibilité, et surtout son habitude de s’occuper des foyers humains, en particulier des écuries.
Le gnome est une petite créature humanoïde légendaire du folklore européen. Il est souvent confondu avec les gobelins, qui comme lui font partie du « petit peuple ». Paracelse au XVIe siècle, l’inclut à sa liste d’élémentaux, en tant qu’élémental de la terre.
Il est caractérisé par une très petite taille, une vie souterraine, et une grande connaissance des secrets telluriques. Désormais, le gnome s’est « folklorisé ». En langue anglaise, le nain de jardin est nommé garden gnome.
Les gnomes sont étroitement liés à l’étude des cristaux et pierres précieuses et annoncent « un nouvel homme réconcilié avec la nature et la connaissance de la nature », celui « qui est changé dans l’or véritable » et « qui a trouvé le soufre véritable qu’il avait oublié dans ses premières opérations».
Un troll est un être de la mythologie nordique, incarnant les forces naturelles ou la magie, caractérisé principalement par son opposition aux hommes et aux dieux. Ce troll est souvent assimilé aux Jotunns, les « Géants » de cette mythologie.
À partir du Moyen Age il apparaît comme une créature invisible des légendes et croyances scandinaves. Peu amical ou dangereux pour l’homme, le troll reste lié aux milieux naturels hostiles comme les mers, les montagnes et les forêts.
À l’époque contemporaine, le troll demeure un personnage de fiction pour les œuvres littéraires et la culture populaire ; il est souvent représenté sous l’archétype moderne d’un géant de grande force, naïf ou malfaisant.
Stages énergétiques en Bretagne
Pendant ce stage énergétique en Bretagne dans le Morbihan autour et dans la forêt de Brocéliande, royaume des élémentaux, des druides, et autres créatures fantastiques, je vous propose un moment tout à fait unique, qui vous permettra de découvrir, des lieux cachés contenant des formations mégalithiques mais aussi d’autres splendeurs très intéressantes.
Je trouve avant tout qu’il est important de vous présenter le Morbihan, car c’est une terre riche d’histoire, une terre celte mais pas que, c’est aussi pour cette raison que je réalise mes stages dans cette magnifique région de France.
Je vous emmènerai visiter d’admirables monuments chrétiens tels que des églises, des basiliques et des cathédrales dans l’optique de permettre aux stagiaires d’établir un parallèle entre les différents sites mégalithiques et catholiques. En effet, ces derniers ont, pour la plupart, été édifiés sur d’anciens lieux de cultes païens, qui sont encore des hauts lieux d’énergies. à découvrir. Nous irons également sur certains lieux sacrés, énergétiques comme des fontaines, des sources, ou des pierres gardées par des élémentaux. Ce sera l’occasion pour vous de les découvrir et de bénéficier aussi de certains de leurs vertus de leurs pouvoirs magiques…