Hypnose à Paris

Hypnothérapeute - Thérapie énérgétique
Pascal Brouard

Se faire aider par un spécialiste pour la perte de poids avec l’hypnose à Paris

Se débarrasser des kilos en trop peut se faire de nombreuses manières, plus ou moins contraignantes. Pour maigrir sans stress toutefois, si vous êtes dans la capitale, vous pouvez vous adresser à un spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose exerçant à Paris. Hypnothérapeute énergéticien, je propose des thérapies personnalisées destinées à toutes les tranches d’âge, mais en mélangeant l’hypnose et l’énergétique.

Perdre du poids n’est pas toujours évident pour tous

De nombreuses personnes qui ont des kilos en trop en souffrent aussi bien dans leur corps (apparitions de maladies dues à l’excès de poids et de graisses) que dans leur tête (dépression, stress, complexes, pertes de confiance en soi et d’estime de soi, isolation, etc.). Et malgré les efforts qu’elles fournissent en appliquant des méthodes censées les aider à maigrir, elles n’y parviennent pas. Certaines, sevrées de la nourriture pendant quelques temps finissent par replonger et reprennent les kilos perdus après tant de sacrifices. Les sources de l’excès de poids de ces sujets peuvent être physiques, métaboliques ou psychologiques. Régler le problème implique de remonter à leur source. Le recours à un spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose exerçant à Paris, ou ailleurs, peut être une solution à envisager lorsque les méthodes classiques (régimes, médication, sport, remèdes de grand-mère, yoga, accompagnement psychologiques, coaching personnel, etc.) se sont révélées inefficaces.

Surpoids et troubles alimentaires : les causes

Le surpoids est essentiellement dû à un déséquilibre entre les calories consommées et dépensées. Une personne va souffrir de surpoids lorsqu’elle a tendance à trop manger alors qu’elle dépense peu d’énergies. L’obésité peut aussi avoir une cause génétique. En effet, l’hérédité est parfois à l’origine de certaines répartitions particulières de la masse graisseuse dans le corps, ainsi que d’une moindre dépense énergétique pendant l’effort. Toutefois, la cause principale du surpoids reste l’alimentation. L’accumulation de la masse de graisse est due à la consommation de nourritures riches en calories, sucre et sel, mais pauvres en micronutriments (vitamines, minéraux). En parallèle, la personne est trop sédentaire, elle ne bouge pas suffisamment pour dépenser l’énergie fournie par ces aliments. Le spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose à Paris va essayer de modifier ce comportement pour arriver à un meilleur équilibre.

Le grignotage survient parfois à cause d’un état de stress ou d’anxiété. La personne va alors trouver du réconfort dans la nourriture. L’hypnose peut aider à la perte de poids en éliminant sa cause. Une fois le stress disparu, la personne n’aura plus besoin de « s’empiffrer » pour se sentir mieux. Concernant les troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie, ils mettent en cause des facteurs psychologiques plus profonds, comme l’image de soi. Pour sculpter le corps idéal, l’alimentation devient l’objet d’une attention particulière qui finira par devenir obsessionnelle. L’hypnose va donc modifier cette perception de soi pour amener le sujet à adopter une alimentation plus saine.

Hypnose et perte de poids : comment ça marche ?

L’hypnose est un état modifié de conscience durant lequel l’inconscient du sujet, et plus généralement son cerveau, est plus réceptif. Le spécialiste s’adresse à cet inconscient afin de créer une nouvelle perception des aliments, et donc de suggérer une façon plus saine de s’alimenter. Par exemple, si la personne perçoit les sucreries comme un réconfort, l’hypnothérapeute peut lui suggérer qu’il s’agit d’aliments mauvais pour sa santé. De même, l’hypnose permet d’influencer la perception gustative et le choix alimentaires du sujet. À l’issue de la séance, celui-ci va éprouver un profond dégoût à l’égard de certains aliments. S’il est particulièrement friand de produits gras, le thérapeute va travailler avec son inconscient pour rendre ce type de nourriture moins attrayant.

En consultant un spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose à Paris, vous adopterez un comportement alimentaire sain et équilibré : moins de grignotages, des portions moins grosses, une moindre attirance pour les aliments trop riches, des repas mieux répartis dans la journée. Par la même occasion, vous améliorerez votre hygiène de vie : davantage d’activités physiques, sommeil de meilleure qualité, moins d’alcool. Pour réussir à perdre du poids avec l’hypnose, il est souvent nécessaire de suivre plusieurs séances. En effet, les perturbations extérieures sont souvent nombreuses (publicités, commentaires de l’entourage). Il est donc important d’effectuer un travail continu afin que les résultats se poursuivent sur le long terme.

Perdre du poids avec l’hypnose : quels avantages ?

Contrairement aux régimes, la perte de poids par l’hypnose n’implique aucune privation ni des règles à suivre. Ainsi, la personne qui a choisi d’utiliser cette méthode pour mincir ne risque pas d’être frustrée. Il n’y a aucune crainte de faire des écarts pour compenser, puisqu’il n’existe pas sensation de manque. Consulter un spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose à Paris vous permet donc de maigrir naturellement, sans souffrance. Vous diminuez et modifiez le contenu de votre assiette sans ressentir aucune contrainte, car vous avez adopté une nouvelle manière d’appréhender la nourriture.

De ce fait, la perte de poids n’est pas brutale. Les kilos sont éliminés petit à petit au fil du temps pour ne plus revenir. Vous ne risquez pas l’effet yo-yo, comme c’est le cas avec certains régimes trop contraignants. Les résultats de l’hypnose sont concrets et durables. Par ailleurs, en optant pour l’hypnose, vous n’avez pas besoin d’utiliser d’autres méthodes ou médicaments. Les programmes de coaching incluent à la fois des menus à respecter, des séances d’exercices et parfois des compléments à ingérer (détoxifiants, diurétiques, pilules « brûle-graisse »…). Pour sa part, l’hypnose se suffit à elle-même pour générer des résultats tangibles.

Ainsi, l’usage de l’hypnose pour la perte de poids est à la fois simple, efficace et sans effets indésirables. C’est avant tout une méthode pour renouer avec un bon comportement alimentaire, avec comme conséquence logique la suppression des kilos en trop.

Comment choisir un spécialiste de l’hypnose en vue d’une perte de poids ?

Le domaine de l’hypnose n’est pas encore réglementé, il n’existe pas de référence pour trouver les meilleurs praticiens. Toutefois, il est toujours possible de vérifier certains critères pour s’assurer de la fiabilité d’un spécialiste. En principe, l’hypnose est une pratique efficace pour perdre du poids. Si vous cherchez un spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose à Paris, il est plus intéressant de s’adresser à un hypnothérapeute issu de l’un de ces domaines. J’exerce les thérapies brèves depuis 1996.

L’hypnose nécessite une approche individuelle, afin de bien cerner la situation et la motivation de la personne qui consulte. Il appartient au spécialiste d’adopter la meilleure technique pour obtenir des résultats. Lors de vos recherches, pensez à vérifier si l’hypnothérapeute peut justifier d’un taux de réussite satisfaisant. En général, des témoignages devraient être publiés sur le site du spécialiste pour informer les visiteurs de l’efficacité de ses interventions. Spécialiste de la perte de poids avec l’hypnose à Paris, je suis également énergéticien. Je cumule ces deux disciplines pour obtenir des résultats concrets. Dans 90 % des cas, les personnes qui m’ont consulté à Paris ou Angers ont été satisfaites des changements apportés par l’hypnose.

L’obésité est souvent le plus compliqué à stopper avec l hypnose :

Définition de l’obésité

L’OMS (Organisation mondiale de la Santé) définit l’obésité par un excès anormal ou excessif de graisses dans le corps, potentiellement nuisible pour la santé. Elle est le résultat d’une disproportion entre un apport calorique trop élevé par rapport à la dépense énergétique de l’individu au fil des ans.

Il est important de faire la différence entre obésité et embonpoint : ce dernier est également un excédent pondéral, mais plus modéré. L’obésité morbide, quant à elle, est un état de surcharge pondérale très avancé. Elle serait tellement nuisible qu’elle pourrait raccourcir la durée de vie de plusieurs années (8 à 10).

Déterminer l’obésité

La masse n’est pas l’unique élément permettant de définir une personne comme étant obèse ou comme faisant de l’embonpoint. Il y a plusieurs manières d’obtenir des informations supplémentaires sur l’état pondéral d’une personne et ainsi prévoir son incidence sur sa santé.

  • L’IMC (Indice de masse corporelle) est un premier outil. Selon l’OMS, c’est le moyen le plus efficace (bien qu’imprécis) d’évaluer l’obésité ou l’embonpoint chez une personne adulte. Il suffit de diviser sa masse (en kg) par le carré de la taille (m2). Entre 25 et 29,9, on parle de surpoids ; supérieur ou égal à 30, il s’agit d’obésité ; supérieur ou égal à 40, c’est un état d’obésité morbide. Le poids idéal pour la santé si situe entre 18,5 et 25. Cependant, cet outil n’indique aucunement comment les graisses sont réparties dans le corps. Il ne distingue pas non plus la masse musculaire de la masse graisseuse. C’est pourquoi il reste approximatif pour des personnes très musclées ou ayant des gros os.
  • La mesure du tour de taille est un moyen complémentaire de l’IMC car elle permet d’évaluer l’excédent adipeux au niveau de l’abdomen : dans ce cas, on parle d’obésité abdominale si le tour de taille est supérieur à 88 cm chez les femmes et à 102 cm chez les hommes. L’impact sur la santé est accru avec des risques de troubles comme le diabète, l’hypertension, les maladies cardiovasculaires.
  • La mesure du rapport entre les tours de taille et de hanches permet de préciser comment le gras est réparti. Si le résultat est supérieur à 1 pour les hommes et à 0.85 chez les femmes, le rapport est défini comme important. D’autres outils sont mis au point pour mesurer l’accumulation excessive de graisse comme par exemple l’IMA (indice de masse adipeuse) qui évalue la circonférence des hanches et la grandeur. Cependant, cet outil n’a pas encore été prouvé comme efficace. La médecine n’y a donc pas recours pour le moment.

Il est important pour le médecin de connaître les facteurs pouvant favoriser l’apparition de maladies ; c’est pourquoi un bilan sanguin est conseillé. Depuis 30 ans, l’obésité n’a cessé d’augmenter à travers le monde, à tous les âges et dans tous les groupes socio-économiques. On estime à 1,5 milliards le nombre de personnes de plus de 20 ans en surpoids, et dont un tiers seraient obèses. Sur le territoire français, par exemple, 15% de ses habitants adultes sont obèses, et le tiers est en surcharge pondérale.

Une origine multiple

Facteurs liés à l’individu

    • L’hérédité peut influencer l’apparition de l’obésité. Cette prédisposition génétique dépend de plusieurs gènes dans la majorité des cas.
    • Les comportements liés à l’alimentation : Par exemple, consommer régulièrement des doses trop importantes, ou des aliments riches en glucides, en sel et en lipides. Manger irrégulièrement favorise les craquages alimentaires. Certains états émotionnels influencent ces comportements par exemple si l’on s’ennuie, si l’on se sent seul, stressé ou anxieux… ou si la nourriture est devenue une récompense.
    • La sédentarité : Le travail et les loisirs nécessitent de moins en moins une activité physique (regarder un film à la télévision, jouer à des jeux vidéos ou surfer sur internet ne sont pas des activités physiques).
    • L’âge est également un autre paramètre qui favorise l’obésité car il est lié à une baisse d’activité et une décroissance de la masse musculaire ce qui ralentit le métabolisme. Plus on vieillit, moins on a besoin d’apport calorique ; il est donc nécessaire de réduire cet apport.
    • Le stress : après une expérience éprouvante (une rupture, un décès, la perte d’un emploi), il faut apprendre à se réadapter ce qui peut se traduire par une consommation d’aliments qui réconfortent pour compenser cette épreuve.
    • Une détresse psychologique : le désespoir, l’anxiété ou la dépression peuvent induire une grande souffrance que l’individu va soulager en mangeant.
    • L’influence de la famille : le cercle familial et culturel produit des habitudes quotidiennes comme préparer et partager les repas, faire des activités ensemble.
    • Le manque de sommeil peut accroître la faim.
    • Certains médicaments qui peuvent donner lieu à une prise de poids s’ils sont ingérés sur du long terme, comme divers antidépresseurs, antipsychotiques, corticostéroïdes par exemple.
    • La consommation d’alcool peut faire grossir car elle augmente l’apport de calories et stimule l’appétit.

Facteurs liés à l’environnement

Cependant, l’obésité est majoritairement tributaire de l’environnement. L’individu n’est pas le seul en cause de l’obésité, mais également son environnement : le gouvernement ; l’accès aux denrées riches en glucides, en lipides, en sel qui sont très caloriques mais peu nourrissantes ; la sédentarité ; le stress ; le manque d’activités sportives sont autant de paramètres qui appuient l’émergence de l’obésité. Tous ces éléments contribuent à la création d’un environnement dit « obésogène » c’est à dire qui favorise l’apparition de l’obésité. Ceci est très fréquent dans les pays développés, dû au mode de vie occidental, ainsi que dans les pays en voie de développement qui les imitent. Les personnes dont l’héritage génétique est propice à la prise de poids sont plus susceptibles de subir ce type d’environnement qui leur est particulièrement préjudiciable.

Le lieu de vie est également déterminant. A l’échelle internationale, l’obésité prédomine en milieu urbain par rapport au milieu rural. Diverses maladies peuvent aussi indirectement amener à une prise de poids car elles provoquent une inactivité chez la personne malade. D’autres maladies vont réduire les dépenses en énergie (L’hypothyroïdie, maladie de Cushing …) mais cela reste plus rare. Les personnes boulimiques, en surcharge pondérale pendant l’enfance ou l’adolescence ainsi que les grossesses peuvent également être facteur de prise de poids.

Facteurs et bouleversements sociaux qui favorisent la prise de poids :

  • L’industrie alimentaire : elle fournit des denrées pourvues en calories, lipides, sel et glucides de manière abondante. L’accès à ces aliments est facile et même favorisé.
  • La publicité à la télévision : les enfants sont particulièrement visés par les annonces publicitaires, qui se tournent alors vers des produits de mauvaise qualité voire totalement néfastes.
  • Les autres publicités et les médias, qui favorisent la minceur.
  • La consommation de plats préparés ou issus de restaurants, liée à la difficulté des parents à concilier le travail et la famille, est un autre paramètre favorisant l’obésité. Par conséquent, les parents ont moins de prise sur l’alimentation de leurs enfants et les éduquer en vue d’une alimentation plus saine devient plus compliqué.
  • Les restaurants sont de plus en plus fréquentés.
  • Les portions proposées dans les restaurants et les grandes surfaces sont de plus en plus importantes.
  • Le manque d’activité physique est devenu prépondérant du fait de l’automatisation du travail et du progrès technologique. En plus de la sédentarité du travail, les travailleurs sont souvent soumis à la pression et au stress.
  • L’aménagement des villes n’est pas favorable à l’activité physique ou la marche.
  • Le sentiment d’insécurité dans certains quartiers est devenu important. Par conséquent, les enfants sortent moins à l’extérieur pour jouer, utilisent des moyens autres que la marche ou le vélo pour aller à l’école etc..

Répercussions de l’obésité

Elle peut augmenter l’apparition de maladies chroniques ; les difficultés débuteraient environ après 10 ans de surcharge pondérale. Certaines de ces maladies présentent des risques très élevés (le diabète de type 2, l’hypertension, les calculs biliaires et tous problèmes liés à la vésicule, la dyslipidémie c’est à dire un taux anormal de lipides, les essoufflements et sueurs, l’apnée du sommeil), modérément élevés (les problèmes cardiovasculaires comme les troubles coronariens, les AVC, l’insuffisance et l’arythmie cardiaque, l’arthrose du genou) ou légers (certains cancers hormonosensibles comme le cancer du sein, du col de l’utérus ou de la prostate ; digestifs comme le cancer du colon, du pancréas ou du foie par exemple ; un déclin de la fertilité chez l’homme et la femme ; des cas de démence ou de phlébite pour n’en citer quelques-uns).

Que ce soit au niveau du ventre ou des hanches, la répartition du gras sur le corps détermine l’émergence de maladies. L’excédent adipeux à l’abdomen, pour des raisons hormonales, est typique de l’obésité chez les hommes : on parle alors d’obésité androïde. Elle comporte plus que de risque qu’une répartition plus homogène (au niveau des hanches, des cuisses et de la périphérie), plutôt caractéristique de l’obésité chez les femmes pour les mêmes raisons: on parle ici d’obésité gynoïde. Les femmes non ménopausées ont en moyenne 2 fois moins de tissu adipeux que les hommes.

Point inquiétant, compte tenu d’une augmentation du nombre de jeunes en surcharge pondérale ou obèses, quelques-unes de ces maladies (le diabète de type 2 par exemple) apparaissent désormais à l’adolescence. L’arrivée de la vieillesse implique une qualité de vie moindre et une plus courte espérance de vie par rapport aux personnes avec une masse adéquate. Du fait de l’augmentation de l’obésité chez l’enfant, les experts conjecturent une espérance de vie au maximum égale à celles de leurs parents pour les enfants d’aujourd’hui, qui seraient la première génération dans ce cas.

Pour terminer, l’obésité peut impliquer une surcharge psychologique du fait des critères de beauté actuels instaurés par la mode et les médias ; les personnes obèses peuvent avoir tendance à se sentir rejetées. De plus, celles pour qui il sera difficile de perdre du poids se sentiront en détresse, anxieux, voire dépressifs.

Comment prévenir l’obésité ?

Quelques mesures de base :

La prévention de l’obésité peut, en théorie, débuter dès que l’on commence à se nourrir. Selon les études, le comportement alimentaire pendant l’enfance est fortement associé au risque d’obésité.

Modifier son alimentation :

Manger des denrées amincissantes et effectuer des régimes drastiques tout en ne modifiant aucunement ses habitudes d’alimentation n’est pas une bonne décision. Une alimentation qui est variée et qui comprend des légumes et des fruits frais est une alimentation saine. Bien manger induit de préparer ses propres plats, d’enlever certains ingrédients pour les remplacer par d’autres, d’ajouter des épices et des herbes aux aliments pour en relever la saveur, d’apprendre de nouveaux moyens de cuisson pour réduire l’utilisation de graisses etc.

Pour les parents :

  • Si votre alimentation est saine, les enfants seront plus enclins à manger sainement également.
  • Manger en famille.
  • Prendre garde à ne pas systématiquement nourrir le nourrisson dès qu’il pleure, car ce n’est pas forcément la faim qu’il communique mais peut être un besoin affectif ou de succion. Certaines personnes compensent leur manque affectif par la nourriture, et cela peut s’inscrire très tôt.
  • Il n’est pas nécessaire de complimenter l’enfant s’il termine son assiette ou son biberon car se nourrir est un acte normal, ce n’est pas pour plaire aux parents.
  • La nourriture ne doit pas être utilisée pour récompenser ou punir.
  • L’enfant doit être amené à évaluer lui-même son appétit. En tant que bébé, l’appétit est variable d’un jour à l’autre. S’il s’hydrate bien et qu’il ne maigrit pas, il n’y rien d’alarmant si son biberon n’est pas terminé de temps en temps. L’enfant doit apprendre à percevoir les signes de faim et de satiété : il ne faut donc pas le contraindre à terminer son assiette.
  • Ne pas abuser de boissons telles que les jus de fruits (même naturels) ; le cas échéant, limiter la consommation à 1 verre par jour car ils sont très caloriques (dans certains cas, les boissons gazeuses contiennent autant de calories que certaines boissons et punchs aux fruits). De plus, ils ne permettent pas de se rassasier. L’ajout de sucre dans les yaourts ou purées de fruits est idéalement à proscrire.
  • Diversifier les aliments ainsi que la façon de les préparer. Varier la provenance de protéines (viande blanche, produits laitiers, poisson, légumineuses…)
  • Petit à petit, sensibiliser l’enfant à la découverte de nouvelles saveurs.

Pratiquer une activité physique :

L’exercice physique est un point central pour conserver un poids santé. L’activité physique accroît la masse musculaire, et donc nécessite de l’énergie. Il est bénéfique de convier les enfants à bouger, et de le faire avec eux. Le temps passé à regarder la télévision doit être réduit. Une autre façon d’être plus actif quotidiennement est d’aller à pied dans les petits commerces de proximité.

Bien dormir :

Plusieurs études suggèrent qu’une bonne qualité du sommeil permet un meilleur contrôle du poids. Le manque de sommeil induirait un affaiblissement énergétique qui serait alors combler en mangeant davantage. De plus, moins dormir stimulerait la production d’hormones déclenchant la faim.

Gérer le stress :

On peut avoir tendance à remédier au stress en ingérant de la nourriture. Il est donc préférable de limiter les situations stressantes ou bien de trouver les moyens de les contrôler. En outre, on tend à manger plus rapidement et plus que nos besoins essentiels lorsque l’on est stressé.

Traiter l’obésité

Les experts, de plus en plus nombreux, préconisent l’adoption d’un meilleur style de vie : c’est pour eux le but principal du traitement pour améliorer la santé actuelle et future. La perte de poids éventuelle ne serait qu’un résultat secondaire.

Démarche globale :

Sur le long terme, améliorer sa santé dépend d’une approche personnalisée, pluridisciplinaire et nécessite un suivi fréquent. C’est la démarche la plus efficace. Consulter un médecin, diététiste, un kinésiologue, un psychologue ainsi qu’un hypnothérapeute serait idéal pour la thérapie. Un bilan de santé doit être effectué par un médecin. Ensuite, d’autres professionnels de santé seront consultés. Il est préférable d’étaler le suivi sur plusieurs années, même lors de la période d’un poids stable. Seulement, les cliniques offrant ce genre de recours sont moindres.

Exclure les programmes amincissants :

Selon plusieurs études, ces régimes sont peut-être efficaces sur le court terme, mais pas sur le long terme. Ils sont également risqués. Parmi les conséquences probables, on trouve :

Une prise de poids à long terme : la privation calorique imposée par ces régimes est bien souvent insoutenable. Cela est également générateur d’un stress extrême, autant psychologique que physique. Du fait de cette restriction, la faim augmente et la dépense énergétique baisse.

Des perturbations alimentaires : entamer un programme amaigrissant, sans consulter un spécialiste, peut entraîner des carences nutritionnelles ou même encore, des excès (publication de l’Agence nationale de sécurité sanitaire française).

L’alimentation :

Selon vos goûts et votre style de vie, vous pouvez définir une démarche nutritionnelle pour comprendre votre conduite alimentaire grâce à un diététiste-nutritionniste.

L’exercice :

La perte de poids est facilitée par les dépenses énergétiques. Cela améliore l’état de santé de manière générale. Consulter un kinésiologue est recommandé avant de commencer une activité physique. Un programme adapté à votre aptitude physique et à vos préférences pourra être établi conjointement.

Psychothérapie :

En parallèle, il peut être bénéfique de comprendre la source du surpoids, de modifier son comportement face à la nourriture, de mieux gérer le stress, retrouver confiance en soi etc.. Pour ce faire, la consultation d’un psychologue est idéale. L’hypnose peut également être favorable.

Médication :

Sur ordonnance, il est possible de se procurer certains médicament propices à la perte de poids. Seules les personnes avec des facteurs de risque élevés de diabète, de maladies cardiovasculaires, d’hypertension etc pourront l’acquérir. Avec ces médicaments, la perte de poids est modérée (entre 2.6 et 4.8kg). Une prise continue est nécessaire pour conserver l’effet. Un régime rigoureux doit y être associé. Cependant, ils impliquent de nombreuses contre-indications.

L’orlistat (Xenical) est un exemple : il réduit l’assimilation des graisses alimentaires (de l’ordre de 30% environ). Le gras non assimilé est évacué dans les selles. Un régime pauvre en graisses doit être suivi à côté pour prévenir ou limiter les effets indésirables (notamment des matières fécales liquides et huileuses, une envie irrépressible d’aller à la selle, des flatulences, des maux à l’abdomen). Consulter un médecin est fortement préconisé avant de prendre ce médicament.

Intervention chirurgicale :

Il est possible d’avoir recours à la chirurgie bariatrique : la taille de l’estomac est réduite, ce qui diminue l’absorption de nourriture de 40% environ. Les personnes pouvant effectuer cette chirurgie sont celles en état d’obésité morbide (IMC supérieur à 40) et celles qui souffrent d’une maladie associée à l’obésité et dont l’IMC dépasse 35.

La perte de poids comporte beaucoup d’avantages directs :

On est moins essoufflé ou en sueur durant un effort

Les articulations font moins mal

On est plus tonique et souple

Approches complémentaires :

Elles peuvent aider à contrôler le poids, associées à des habitudes quotidiennes saines. Elles ne peuvent être utilisées comme seul remède à l’obésité.

Le thé vert :

Consommer des constituants d’extraits de feuilles de thé vert aurait des effets amincissants. De plus, cela aiderait à maîtriser son poids si ‘est en complément d’une alimentation équilibrée. La dépense en énergie augmenterait avec les catéchines et les caféines contenues dans le thé vert. Ces molécules pourraient stimuler la détérioration des graisses accumulées dans l’organisme. En outre, après avoir acquis un poids stable, les extraits de thé vert aideraient à maintenir ce poids et ne pas en reprendre.

Le piment de Cayenne :

Certains essais préalables semblent montrer que le piment fort a un effet avantageux sur le métabolisme des graisses, sur la dépense en énergie en phase de repos ainsi que sur le contrôle de la faim.

Pour rappel, les produits amincissants sont à bannir. En effet, ces substituts de repas (idem pour les médicaments et autre produits de santé naturels pour mincir), qu’on peut obtenir en vente libre, peuvent être nocifs pour la santé. Ils vont être vendus sous forme de tisanes, de suppléments, de boissons, de timbres ou barres nutritives. L’Association pour la santé publique, au Québec, a conclu qu’ils étaient néfastes et inefficaces pour maigrir sur le long terme. En effet, il y a un risque de reprendre le poids préalablement perdu. D’autres conséquences négatives peuvent intervenir, comme de l’arythmie cardiaque, des déséquilibres électrolytiques, de l’ostéoporose, des calculs biliaires etc..). Des troubles psychologiques peuvent également survenir comme perdre son estime de soi, ressentir de l’impuissance par exemple. Les experts en nutrition déconseillent ce genre de produits ; ils n’entraînent qu’une légère perte de poids : en réalité, on perd de l’eau et de la masse musculaire mais non de la graisse.

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