Hypnose à Paris

Hypnothérapeute - Thérapie énérgétique
Pascal Brouard

Hypnothérapie contre les douleurs à Paris

L’hypnose est un état de conscience modifié permettant de mettre en lien le conscient et l’inconscient. Dans le contexte de la douleur chronique, l’hypnose permet d’aider à contrôler le ressenti de la douleur, à la gérer ainsi que les émotions qui en découlent. L’hypnothérapeute accompagne son patient pour aller chercher ses propres ressources intérieures afin de mieux agir sur son rapport avec la douleur.

La douleur est personnelle et subjective : chaque patient la ressent différemment et c’est sur cette notion de ressenti du signal de douleur que notre corps nous donne que l’hypnose prend tout son sens car la douleur va varier en fonction de plusieurs critères dont celui des émotions.

L’hypnothérapeute rentre en contact avec l’inconscient de l’individu afin de modifier ses émotions négatives susceptibles d’amplifier le ressenti de la douleur.

Parce que la souffrance se traduit par une sensation physique (ça brûle), une émotion (c’est insupportable), un comportement (les pleurs par exemple) et une réaction mentale (la manière de chercher à la comprendre ou à la gérer), L’hypnothérapeute va pouvoir en agissant sur l’émotion stopper l’interaction entre ces 4 critères indissociables.

L’hypnothérapeute, en travaillant sur l’émotionnel, va pouvoir diminuer la sensation de douleur y compris si cette dernière persiste dans le temps ce qui est le cas des douleurs chroniques.

Le recours à un hypnothérapeute pour diminuer ses douleurs est un outil thérapeutique d’aide à la médecine et de nombreuses études tendent à confirmer les effets bénéfiques de l’hypnose pour traiter la douleur.

L’hypnothérapeute crée un lien entre le conscient et l’inconscient qui va permettre au patient d’accéder à ses ressources intérieures de guérison.

Pour exemple de l’importance du mental dans le ressenti de la douleur, nous avons tous fait l’expérience un jour de constater qu’en étant rassurant, la douleur se fait moins présente à l’esprit de la personne souffrante mais rassurée : lorsqu’un enfant chute et qu’il se fait mal : si son entourage ne présente pas de réactions susceptibles de l’inquiéter, il s’arrêtera plus rapidement de pleurer et se relèvera plus vite pour reprendre ses occupations alors que si ce même entourage réagit de manière anxiogène, l’enfant va être conforté dans sa peur et focalisera l’attention sur son mal ce qui aura pour conséquence d’amplifier le ressenti de sa douleur. Sachant que cet enfant peut même en garder des séquelles inconscientes qui se manifesteront lors d’un autre incident de ce type par phénomène d’anticipation et d’appréhension.

Encore un travail pour l‘hypnothérapeute qui devra aller chercher dans l’inconscient ce schéma à rétablir …

Parce que le corps et l’esprit sont étroitement liés, parce qu’une douleur est physique et son ressenti mental, alors l’hypnose peut faire des miracles sur le ressenti de la douleur.

C’est pour cette raison que l’hypnose est souvent proposée comme une alternative à l’anesthésie générale pratiquée en France depuis 2015.

Selon une équipe de chercheurs français, l’hypnose s’avèrerait aussi efficace et confortable qu’une anesthésie générale conventionnelle lors de diverses chirurgies et permettrait une meilleure récupération post-opératoire.

La douleur chronique à tendance à agir sur le système nerveux et le rendre plus sensible à la douleur.

Rappelons qu’une douleur chronique est considérée comme telle dès lors qu’elle est persistante, rebelle aux traitements et compromet le bien-être du patient, son niveau fonctionnel et sa qualité de vie.

C’est une douleur continue ou récurrente qui peut persister plus longtemps que la période normale de guérison d’une maladie ou d’une blessure, soit plus de 3 mois ou plus d’1 mois après guérison d’une lésion tissulaire aiguë ou qui est associée à une lésion qui ne guérit pas.

Elle peut être due à des troubles chroniques tel qu’´un cancer ou du diabète, à des traumatismes comme une hernie discale ainsi qu’à de nombreux syndromes douloureux tels que la fibromyalgie.

Les maladies chroniques non guéries telle qu’une hernie discale exemple vont déclencher des troubles d’ordre nociceptifs. Le nociception étant une fonction défensive permettant l’intégration au niveau du système nerveux central d’un stimulus douloureux par le déclenchement des nocicepteurs (récepteurs à la douleur) cutanés, musculaires et articulaires.

Le fait que ce déclenchement des récepteurs à la douleur soit continu dans le cas des maladies chroniques non guéries peut expliquer qu’elles entraînent à elles seules des douleurs chroniques.

A l’inverse, les traumatismes entraînent des modifications durables du système nerveux depuis les récepteurs périphériques jusqu’au cortex cérébral ce qui provoque des douleurs chroniques en l’absence de stimuli nociceptifs.

Cette stimulation des récepteurs à la douleur crée une sensibilisation plus accrue et va amplifier le ressenti de la douleur ou de la gêne qui aurait pu être considérée comme légère ou banale.

Le principe d’amplification du ressenti de la douleur est étroitement lié à des facteurs psychologiques, ce qui peut expliquer qu’une douleur chronique semble disproportionnée par rapport aux troubles organiques identifiables.

Même chez les patients dont l’origine les douleurs chroniques s’explique, comme les douleurs cancéreuses, des facteurs psychologiques peuvent inconsciemment conduire le patient à renforcer sa perception douloureuse ce qui est différent du patient qui simule consciemment ses symptômes en vue d’obtenir un bénéfice secondaire. (Arrêt de travail, pension d’invalidité).

Il est important de comprendre également pour l’entourage d’une personne atteinte de douleurs chroniques que ces douleurs constantes ont un fort impact sur leur moral pouvant aller jusqu’à les faire sombrer dans la dépression ou l’anxiété.

A quoi reconnait-on ces douleurs chroniques ?

Les symptômes de douleurs chroniques peuvent varier : il peut s’agir d’une douleur légèrement gênante jusqu’à une douleur complètement invalidante. Vous pouvez ressentir une douleur vive comme un coup de couteau, une sensation de brûlure, ou une douleur musculaire sourde. Souvent la douleur chronique n’est pas statique. Elle peut varier et s’intensifier au fur et à mesure de vos activités journalières.

Ce qui reste inchangé c’est l’altération de la qualité de vie des patients et derrière chaque douleur, chaque patient, se cachent des réalités très différentes.

Nous ne sommes pas égaux face à la douleur parce que derrière la douleur se profile une ou plusieurs émotions et ce sont particulièrement sur ces émotions que l’hypnothérapeute va pouvoir agir pendant la transe hypnotique.

Il est primordial de ne pas négliger les conséquences psychologiques de la douleur. » Aujourd’hui la douleur est considérée comme le cinquième signe vital, avec le pouls, la température, la tension artérielle et la respiration « explique un spécialiste.

La douleur induite par des soins médicaux est reconnue comme un facteur de risque important de douleur chronique, c’est pourquoi l’hypnothérapeute peut éviter dans bien des cas l’apparition de ces douleurs en préparant psychologiquement le patient avant un acte douloureux.

L’hypnose aura alors un effet préventif sur la survenance de douleurs chroniques.

Les douleurs chroniques sont bien souvent rebelles aux traitements et là où la douleur devrait disparaître, des phénomènes cognitifs, émotionnels et parfois génétiques font que la douleur va persister sans raison apparente.

Ces symptômes peuvent être dans ce cas liés à des déséquilibres dans le système nerveux central qui amènent à exacerber la perception, la sensation ce qui peut amener le patient à percevoir une simple caresse comme une sensation désagréable voir douloureuse.

L’état émotionnel ressenti par les patients atteints de douleurs pérennes peut les conduire à un isolement au point de les conduire tout droit vers une dépression.

L’hypnose ayant accès à l’inconscient va pouvoir agir sur ces pensées nocives obsessionnelles afin de les modifier et d’apporter un mieux-être au patient dans son quotidien.

 Il n’est pas rare de constater des symptômes secondaires chez des patients souffrant de douleurs chroniques comme des troubles du sommeil, une fatigue générale, une perte d’appétit ou prise de poids, une diminution de leur libido etc. …Ces conséquences surviennent la plupart du temps petit à petit.

Parmi les différents symptômes des douleurs chroniques figure » la douleur soudaine « qui apparaît de manière imprévisible et soudaine lors du traitement de la douleur chronique.

Poser un diagnostic est parfois difficile :

Bien souvent un examen clinique avec des échelles d’évaluation de la douleur sont pratiquées ainsi qu’une évaluation psychiatrique si nécessaire.

Il s’agit pour le corps médical d’identifier dans un premier temps à la fois l’origine de la douleur et ses conséquences dans la vie du patient au quotidien.

Le médecin va tenter de faire disparaître ces douleurs ou en tout cas les soulager afin d’obtenir un mieux-être chez ses patients.

Ensuite il s’agit d’évaluer les symptômes psychologiques du patient atteint de douleurs chroniques. Mieux cerner la santé mentale de la personne va permettre au médecin de mieux agir sur la douleur également

Quels traitements ?

Selon la source du Manuel MSD :

Médicaments antidouleurs (antalgiques)

Méthodes physiques telles que des séances de kinésithérapie ou ergothérapie

Techniques antalgiques complémentaires et validées par le patient telles que l’acupuncture, les massages et l’électrostimulation nerveuse transcutanée

Psychothérapie, thérapies comportementales …

En cas d’inefficacité de ces traitements, le corps médical va proposer aux patients une prise en charge auprès d’un centre spécialisé dans la douleur.

Quelle médication pour la prise en charge des douleurs chroniques ?

En fonction de l’importance des douleurs, différents types de prises en charge médicamenteuses vont être proposées aux patients :

Opioïdes

Anti-inflammatoire non stéroïdiens

Antalgiques adjuvants ou Co antalgiques qui sont des médicaments utilisés à d’autres fins que la douleur pour renforcer l’effet antalgique comme les antidépresseurs.

Les associations de médicaments sont souvent plus efficaces qu’un seul.

Pendant le traitement médical contre la douleur dans le cas d’une douleur chronique, l’intensité de cette dernière va varier en fonction de différents critères tout au long de la journée :

En fonction du type de fibre nerveuse dans laquelle voyage la douleur et de l’endroit dont elle est partie ce qui nous permet de comprendre la différence entre une douleur aigüe ou sourde.

Les activités pratiquées tout au long de la journée vont plus ou moins solliciter la douleur concernée

Le niveau de stress ou anxiété

La variabilité des biomarqueurs de la douleur dans le sang qui va permettre de déterminer par un test sanguin et de manière donc objective l’intensité de la douleur ressentie du patient

Ce test permet aux médecins de modifier le dosage et horaire de prise du médicament.

Les opioïdes sont généralement classés en 2 catégories dont l’une est dite faible et l’autre forte.

L’opioïde est une substance psychotrope de synthèse ou naturelle dont les effets sont semblables à ceux de l’opium sans y être chimiquement apparentés (source Wikipédia).

Ils sont fréquemment utilisés pour agir sur les douleurs cancéreuses ou d’autres maladies qui réduisent considérablement l’espérance de vie des patients voir en phase terminale.

Le corps médical a souvent recours aux opioïdes lors des soins palliatifs.

Ils peuvent être parfois sous-utilisés en cas de stade terminal du patient du fait du rapport entre son juste dosage et son efficacité ainsi que la crainte liée à l’usage de substances ayant des effets secondaires de forte dépendance.

Les recommandations de dosage ont été revues à la baisse concernant le traitement des douleurs chroniques dues à des maladies qui n’impactent pas l’espérance de vie des patients parce que leurs effets indésirables (et le mot est faible) peuvent aller jusqu’au décès en cas de surdosage en passant par une insuffisance respiratoire sévère sans compter l’effet de dépendance.

C’est pourquoi les médecins prescrivent habituellement, dans le cas des douleurs chroniques ne mettant pas l’espérance de vie de leurs patients en jeu, des traitements non médicamenteux comme la kinésithérapie et des antalgiques non opioïdes.

Si malgré le traitement médicamenteux et autres thérapies alternatives, la douleur est toujours présente, si cette douleur entrave la vie quotidienne du patient, alors il appartiendra au médecin sous condition que son patient soit consciencieux dans le suivi thérapeutique, de lui administrer des opioïdes. Si et seulement si ces conditions sont remplies. Le prescripteur doit mesurer le rapport bénéfices risques.

Dans cette éventualité il conviendra au docteur de déterminer à l’aide d’un questionnaire précis et notamment la propension de son patient à respecter ou non le dosage qui lui a été prescrit, cela peut être le cas s’il a des addictions à l’alcool ou la drogue ou bien encore s’il a déjà connu des épisodes dépressifs ou antécédents psychiatriques auparavant.

Le médecin doit également se demander si le patient est susceptible d’utiliser ces opioïdes pour d’autres motifs tel que sa vente par exemple et enfin s’il est susceptible de présenter des effets secondaires au traitement en fonction de son âge, son état de santé, sa profession (pour les risques de chute par exemple) etc. …

Le médecin est donc en constante surveillance pendant le traitement par opioïdes : il a la responsabilité et le devoir de vérifier si les effets secondaires sont bien supportés, d’évaluer le degré de soulagement pour vérifier la nécessité de continuer ou pas ce traitement et surtout il doit informer ses patients des risques et effets secondaires.

Il se doit de prodiguer les meilleurs conseils comme les interactions avec la prise d’alcool ou d’anxiolytiques, leur mode de conservation, le fait de les tenir hors de portée des autres membres de la famille, et l’importance d’avoir de la naloxone qui est un antidote en cas de surdosage.

L’administration de ce traitement peut se faire par voie sous cutanée auto – contrôlée par voie intraveineuse ou par voix orale.

Cette médication est le plus souvent combinée avec des thérapies qui vont agir sur la santé mentale du patient comme la psychothérapie ou l’hypnose entre autres.

Les traitements complémentaires comme la kinésithérapie ou les ergothérapeutes vont permettre dans certains cas d’améliorer de la qualité de vie quotidienne des patients atteints de douleurs chroniques.

En effet, ils utilisent différentes techniques qui vont leur permettre l’amélioration des performances fonctionnelles de la personne traitée. Le travail rééducatif comprend souvent une composante de réentrainement à l’effort, le travail de la souplesse et des éléments d’ergothérapie.

Le kinésithérapeute participe aussi au déconditionnement physique qu’il aborde sous l’angle de la cinésiophobie (peur du mouvement) qui entraîne un manque de flexibilité et de souplesse.

Il va donc agir à la fois sur la redynamisation physique et également psychologique du patient en lui redonnant confiance en lui. Il va contribuer à réduire l’appréhension des douleurs lors des mouvements de son corps.

Les ergothérapeutes peuvent également aider les personnes ayant une douleur chronique à pratiquer des activités de la vie courante sans douleur ou atténuée.

Ces professionnels de la santé ont pour perspective de s’intéresser avant tout à l’impact de la douleur sur les gestes du quotidien. La personne qui souffre éprouve des difficultés à vivre normalement : difficultés à travailler, à s’occuper d’elle et de ses proches, de son intérieur, se reposer etc. ….

L’ergothérapie vise à identifier ces difficultés à assumer le quotidien en misant sur le potentiel thérapeutique des activités signifiantes. Il s’agit de trouver les bonnes techniques afin d’améliorer le fonctionnement de la personne non seulement lors de l’exercice de sa profession mais aussi dans l’ensemble de ses habitudes de vie.

Les impacts des douleurs chroniques sur la santé mentale des patients nécessite une approche thérapeutique psychologique en complément des traitements que nous avons pu évoquer.

La psychothérapie se traduit par le pouvoir guérissant de la parole et de la relation à autrui.

Freud parlait de « cure par la parole « et nous pourrions faire le parallèle avec l’hypnose qui pourrait être définie en partie comme une cure par la suggestion hypnotique.

La psychothérapie est basée sur la relation de confiance entre le praticien et son patient de manière à ce qu’une entente commune soit établie concernant la nature du problème et les moyens d’y remédier.

Ils vont collaborer ensemble au travers d’une théorie du changement acceptable et susceptible de susciter leur confiance mutuelle afin de travailler ensemble sur des objectifs par le biais de tâches convenues ensemble.

Comprendre le mécanisme des structures mentales qui composent la personnalité du patient va permettre au praticien une rééducation cognitive de son patient qui pourra influer directement sur sa perception de la douleur chronique.

Il est important de comprendre que certaines douleurs peuvent avoir une composante mixte à la fois physique et psychogène. Ces douleurs chronique ont une cause physique indiscutable, mais ces douleurs sont renforcées par une composition psychique.

Les douleurs parmi lesquelles on retrouve une composante psychogène sont les douleurs de dos, lombaires, les douleurs articulaires, les douleurs abdominales, les migraines et la fibromyalgie.

Certains éléments vont permettre d’identifier le facteur psychogène comme l’amplification des douleurs dans certaines situations générant du stress ou des émotions négatives ou à l’inverse minorées lors de moments agréables tels que les vacances ou un événement déclenchant (rupture).

Les thérapies cognitivo-comportementales sont efficaces sur ces douleurs chroniques à composante psychogène parce qu’elles travaillent sur l’évitement des pensées négatives et la thérapie comportementale sur les changements de comportement afin de réduire la douleur.

L’hypnothérapeute peut aussi travailler sur ces pensées nocives ou irréalistes qui alimentent la détresse psychologique du patient.

L’hypnose est un outil précieux pour mieux gérer et diminuer cette douleur persistante.

Ces techniques thérapeutiques comme l’hypnose, la relaxation et le biofeedback sont des techniques qui ont fait leurs preuves dans le traitement des douleurs chroniques.

Certains praticiens utilisent la technique de distraction comme l’imagerie guidée et l’hypnothérapeute quant à lui peut procéder également à une induction hypnotique de relaxation suivi d’un protocole dans lequel il va inviter le patient grâce à la technique de la dissociation à s’imaginer une scène apaisante et sécurisante comme le fait de se retrouver dans un lieu ressource (une plage, la montagne …).

L’hypnothérapeute peut choisir également un protocole visant à retrouver une meilleure confiance en soi ce qui afin de ne pas laisser la douleur perturber leur volonté de mieux fonctionner ou de ne pas se laisser dominer par l’appréhension de la douleur s’ils pratiquent une activité physique (qui leur est adaptée bien sûr).

On remarque notamment des patients pratiquant des activités physiques ou mouvement corporels accompagnés par le kinésithérapeute alors qu’ils pensaient ne pas en être capables ou qu’ils auraient catalogué comme une contre-indications pour le mal dont ils souffrent.

L’hypnothérapeute va faire prendre conscience à son patient qu’il y a une différence entre ne pas être capable et se sentir incapable de.

Si la personne est convaincue de ne pas pouvoir alors elle ne pourra pas …

Mais le contraire est valable aussi et Milton Erickson nous l’a démontré.

L’autohypnose peut se révéler d’un grand secours sur la gestion des émotions et le ressenti de ce type de douleurs. Votre Hypnothérapeute peut apprendre à ses patients à la pratiquer quotidiennement ce qui les rendra plus autonomes dans leur quotidien.

L’autohypnose permet ainsi de mieux se détacher de qui entrave le bien-être et en se libérant des tensions, du stress et de l’anxiété ; le patient va pouvoir dissocier la douleur de l’émotion qui l’accompagne. La souffrance devient moins désagréable.

Un autre facteur psychologique est primordial dans le cas de l’état émotionnel des patients atteints de douleurs chroniques c’est son environnement, son entourage.

Vivre avec un douloureux chronique est une épreuve pour la famille. Au fil du temps s’installe une interaction complexe entre les membres de la famille et le patient et cette interaction est depuis longtemps reconnue par les spécialistes de la douleur.

Les proches peuvent avoir soit une influence bénéfique en faisant preuve d’une aide et d’une compassion bénéfiques soit au contraire accentuer les douleurs en culpabilisant involontairement le patient qui va se replier sur lui-même et se sentir profondément seul et incompris.

Dans toute maladie chronique, il est nécessaire de développer une aide d’accompagnement psychologique pour le patient et son entourage familial.

En cancérologie, le corps médical a mis en place des consultations de psychiatrie afin d’offrir accueil et écoute. Cette aide psychologique est présente dans les centres de soins palliatifs mais cela n’existe malheureusement pas encore dans les centres spécialisés dans la douleur.

L’influence du contexte socio-familial sur la douleur ressentie par le patient a été démontrée. Par exemple, dans le cas de polyarthrite rhumatoïde, selon que le conjoint est trop protecteur, ou au contraire rejette le malade, celui-ci aura un comportement différent vis à vis de la douleur. Un excès de sollicitude et d’inquiétude conduisent souvent le patient à renforcer ses démonstrations de douleur.

Selon le docteur Benhaiem dans son ouvrage « L’hypnose pour le contrôle de la douleur « :

« Soigner par l’hypnose, c’est soigner un être en relation avec lui-même et avec ce qui l’entoure «

L’hypnothérapeute va pouvoir aider son patient souffrant de douleurs chroniques en lui permettant d’accéder à ses plus belles ressources intérieures nécessaires à la gestion de sa douleur grâce à une modification de sa perception sensorielle et cognitive.

Ainsi ses émotions et sa motivation s’en trouveront modifiées à leur tour, ce qui rendra la douleur beaucoup plus supportable.

L’hypnose est un analgésique puissant et surtout naturel contre la douleur, alors pourquoi ne pas essayer dès à présent ?

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